En retraçant le parcours
d’André Bourgogne, Dominique Perben a rappelé son
passé de résistant, ses combats dans le Vercors, ses
blessures de guerre, pour lesquelles le conseiller
général a reçu par deux fois la Croix de guerre.
André Bourgogne a d’ailleurs salué ses
« copains » résistants et
déportés. « Tes collègues te disent
qu’ils t’ont apprécié et qu’ils t’aiment, » a
déclaré pour sa part le président du conseil
général Michel Mercier. La famille centriste était, elle
aussi, présente pour rendre hommage à l’élu.
L’occasion pour beaucoup de féliciter à cette occasion
le nouveau sénateur du Rhône Jacques Moulinier.
Dominique Perben, l’autre vedette de la
soirée et qui est longuement resté pour discuter avec
les nombreuses personnalités lyonnaises présentes, a
aussi rappelé l’engagement politique de l’ancien maire du
IIIe arrondissement. Deux de ses maires, Francisque
Collomb et Michel Noir, étaient là. André
Bourgogne n’a pas manqué de défendre au passage le
tronçon nord du périphérique,
« ouvrage qui fut et qui demeure un
succès. » F.P. Figaro Lyon,
1er
décembre 2003.
in
La gazette de
l'île Barbe
n° 55 Hiver 2003